.:Tinuviel Rioleimn:. .:Couturière:. -FINI-

Tinuviel
Rioleimn

Tinuviel By Eraliz

Nom : Rioleimn Prénom : Tinuviel Age : 21 ans Sexe : Femme Race : Elfe, aux origines humaines. Guilde : Couturiers Statut : Membre Relations : Spoiler:

Caractère :

Voila quelque chose d'interressant : ma façon de penser.
J'ai une attitude qui pour la plupart des autres est assez difficile à décrypter. Pourquoi? Et bien, parce qu'en général ils y mettent du temps. Qui soupçonnerait que derrière cette attitude décontractée et amusante se cacherait une personnalité des plus sensible? Je vous vois venir d'ici : vous vous demandez tous pourquoi j'agis ainsi je suppose. Il est vrai que cela parait assez incompréhensible qu'une jeune femme délicate dissimule son véritable caractère derrière une drôle de trempe intrépide. La réponse est des plus simple. Lorsqu'on se cache, c'st pour éviter d'être débusquer. Moi, je ne veux plus être prise au dépourvu par ma personnalité trop sensible, et bien trop attachée ; aussi je m'applique à la changer, et croyez moi, je préfère largement cette image que je donne de moi. Elle est travaillée avec la finesse d'une broderie compliquée, si bien qu'elle apparaît comme naturelle. Je suis fière de moi. Seuls une poignée connaissent ce double visage car je tiens toujours mon rôle, quoi qu'il advienne. Quelques soient les circonstances, je demeure celle que tous connaissent : enjouée, souriante, dynamique. Pour eux, je suis comme un feu follet, et je m'agite par des voyage, des quêtes que je m'impose, des aventures que j'invente. Je suis le livre ouvert dont les pages tourbillonnent sous le vent et d'où s'échappent des idées folles. Et je pense que c'est pas plus mal. C'est la vie qui m'a rendue comme je suis devenue. C'est elle qui a transformé la petite fille bien sage en un masque aux mille couleurs. C'est pourquoi, on me qualifie quelques fois de lunatique : c'est quand le voile que je porte se soulève légèrement, laissant aux autres le temps d'apercevoir mon véritable visage.
Mis à part cette grande partie assez adaptée de ma personnalité, il y a quand même de nombreux attraits que je n'ai pas changés comme ma maladresse légendaire qui parle par mes lèvres. C'est plus simple lorsqu'elle sort d'une bouche espiègle plutôt que d'un sourire timide si vous voulez mon avis. J'ai un deuxième défaut assez dérangeant aussi qui s'appelle le choix. J'ai horreur de choisir quoi que ce soit ; du plus infime au plus grave, j'ai toujours des regrets, des doutes, des hésitations, et une fois que ma décision s'est portée, je ne suis jamais entièrement sure d'avoir fait le bon choix. Sauf dans quelques rares cas.
Sinon, je suis assez face à vivre, car je m'adapte bien, et que d'après mon entourage, je suis attentive à ceux qui partage ma vie et prévenante. La gentillesse, c'est ce qui traverse le masque que j'ai fabriqué. Elle est toujours présente, et est en quelque sorte mon tendon d’Achille (pas toujours quand même, je vous rassure : je peux être gentille avec les autres sans me prendre le râteau du siècle en pleine figure).

Physique :

Je suis une Elfe. Non, j'ai pas une Elfe absolument éblouissante et toute irradiante de beauté, non, juste une Elfe. J'ai dans le sang des origines humaines qui me viennent de mon père, Albann. De lui je tiens mes longs cheveux blonds, qui cascadent dans mon dos (ou du moins que j'essaie de faire cascader avec application). La plupart du temps j'en viens a bout par une longue tresse qui se balance jusqu'à ma taille ; pratique, jolie, simple, bref, un concentré de perfection lorsqu'on s'agite dans tous les sens. Le deuxième trait que je tiens de mon père, ce sont mes yeux d'azur, comme extrait de la mer. Il sont changeant, comme elle, en fonction du temps, de mes émotions, et des gens qui les regardent.
De ma mère, j'ai le visage fin qu'on les elfes. Traits délicats, fuselés, et comme sortis d'un seul jet. Cette pureté est nuancée chez moi par la physionomie humaine que mon père m'a insufflée. Je suis le métissage de deux races, équilibre entre la perfection trop claire des elfes et la rudesse de l'Humanité. [7 lignes minimum]

Histoire :

Me regardez pas comme ça, je sais pas raconter.... Je suis née il y a 21 ans. Je trouve que ça résume assez bien mon passé.
Vingt-et-une années passées, et déjà emportées par le temps...

J'ai vécu dans une famille métissée. Mon père, Albann Rioleimn, était un humain de la Caste des Forgerons. Fort, peut-être un peu rustre, il contrastait tout a fait avec ma mère, Allanë Bronwë, qui elle était une Elfe sans commune mesure. Elle était très belle, avec une longue chevelure brun clair, et des yeux noisettes où brillaient des paillettes de sourire. Elle a séduit mon père, et malgré le désaccord de leurs famille (enfin surtout celle de ma mère) ils se sont mariés afin de fonder une famille. Nous sommes six enfants a être nés de cette union. Tous des métis, bien sur, mais tous différents. J'ai quatre frères : Olinn, Dietinn, Balmir et Angusias. Ils ont tous les quatre hérité des cheveux bruns de notre mère, ainsi qu'Ilissiel ma soeur. Seul Balmir a comme moi reçu les yeux bleus de notre père.
Tous les six nous habitation dans une maison paisible en bordure d'un village simple. Ma mère avait suivi mon père dans le lieu de ses origines, là ou il avait toujours travaillé. Elle n'eut pas de mal à s'adapter, et trouva comme tout un chacun, à s'établir dans sa fonction de Couturière. La Vie s'écoulait tranquillement au fur et à mesure de nos naissances. Olinn, l’aîné fit leur premier bonheur. Il était le fils modèle que tout parent rêve de voir en tant qu’aîné de sa petite descendance. Il fut suivi d'Ilissiel, leur première fille, si belle. Dole et amusante, elle était une petite fille adorable et enjouée.... Peut-être est-ce en sa mémoire que mon esprit s'est tant efforcé de se transformer. Ensuite sont venus Dietinn et Balmir, les jumeaux qui ne se ressemblaient pas en tous points, et pour terminer, Angusias, le cadet parfait. Bien sur, vous allez me demander où je me place dans ce cycle. Eh bien... Lorsqu'Angusias est né, il s'est trouvé que ma mère était fatiguée de toute ces naissances. D'un côté, on peut la comprendre : les Elfes n'ont pas une morphologie leur permettant la fertilité rapide. En général, et du fait de leur existence plus longue que celle des hommes, ils prennent leur temps en ce qui concernent la maternité. En l'espace de seulement 7 années, ma mère elle, avait donné la vie à cinq enfants. Cependant, elle m'eut trois années après Angusias. Ils étaient fiers bien sur, comme ils l'avaient été de chacun de leurs rejetons. Sauf qu'Allanë ne survécu pas longtemps pour voir sa dernière fille grandir. Elle est morte. Morte.

J'ai tué ma mère.

Elle les a tous emporté avec elle.
J'ai tué ma famille. L'ai-je tuée? Non. Elle n'avait pas besoin de moi.

La vie s'est donc poursuivie dans le deuil, et ce quelques années. Nous sommes devenus grands, et tour à tour, notre fratrie s'est divisée, puis éparpillées aux quatre coin du Monde connu. Olinn fut le premier à prendre le large. Il avait connu sa mère, mieux que nous tous. Il l’avait vu sourire, et être belle, il l'avait aimée 10 années durant. Moi, elle ne m'a jamais manquée. Ce qu'on n'a jamais connu ne peut nous manquer. Et pourtant... Enfin, c'est ce que je me serine depuis vingt-et-un an maintenant. Olinn est donc parti, le plus loin possible de ctette famille dès qu'il a pu entrer en apprentissage.Il est bâtisseur. Ilissiel, elle était sans doute la plus prometteuse de la famille, et s'est trouvée une place d'apprentie auprès d'un Druide. J'étais encore très jeune lorsqu'elle nous a quitté, c'est pourquoi l'ai-je très peu connue. Dietinn et Balmir sont partis, alors qu'ils étaient enfin en age, afin de parcourir le Monde en tant que Marchands. Ils se sont embarqués sur un navire de marchandises, et depuis père n'eut plus jamais de nouvelles de ses fils. Resta Angusias. Lui prenait soin de moi, la petite dernière. Comme son père, il était Forgeron. Plutôt que de partir comme l'avait fait Olinn, le cadet est resté au sein de sa famille. Lors du décès de notre père que la perte de sa femme avait précocement vieilli, il m'a gardé sous son aile. Il a prévenu notre fratrie scindée, mais je ne sais toujours pas si il a obtenu une réponse de l'un d'eux. Enfin, il n'est jamais trop tard pour espérer.... C'est ce qu'il me disait tout le temps. J'avais onze ans. Il en avait quatorze.

Nous avons poursuivi notre vie tous les deux, comme avant. La seule différence étant que le cercle s'était atrocement réduit. Mais on s'entendait bien. Il est d'un caractère semblable au mien, au vrai. ON se comprenait, et on avait plus besoin de grand chose d'autre. Enfin si, moi je voulais de l'air pur. Il disait que je ne tenais pas en place, mais que mon esprit aventurier finirait bien par accepter une place quelque part. Cependant, il ne m'a pas retenue lorsqu'à 17 ans je suis à mon tour partie de cet endroit où ma naissance s'était coulée.
Il n'était plus seul, du moins plus pour très longtemps car une jeune femme viendrait bientôt le rejoindre dans le vide de notre demeure.
Je suis donc partie sur les route, avec dans ma poche la seule chose que je savais faire : une aiguille pour coudre. Depuis toute petite, j'en avais une. Une aiguille a coudre, une aiguille a broder. Deux petits brins de métal qui sous mes doigts transformaient le tissu en merveilles. J’ai marché encore, triturant mon aiguille dans ma poche, entre mes doigts, sans savoir jusqu’où le ruban de la route se déroulerait sous mes pieds.
Je suis bientot arrivée dans une petite ville où j'ai réussi à me fondre plu ou moins, ma nouvelle façade tissée durant ce voyage enfin déployée autour de moi comme un étendard brodé.

Me voila.

Ce qu'il aime :

Il y a plein de choses que j'aime : tout d'abord, il y a mon métier. Je suis née pour faire partie de cette guilde. Du moins mes mains le sont elles. C'est un travail assez satisfaisant, surtout lorsqu'on le réussi. Il est la seule chose vraiment stable qui me retient en Azerin. Enfin c'est pas dit que secrètement, je ne change pas un jour, car.... il y a certains rêves qui me tenteraient bien....
J'aime rire, et passer du temps avec les autres ; leur faire plaisir surtout. Voir tous ces sourires autour de moi, c'est une satisfaction parfaite, et toute simple (me regardez pas comme ça, j'ai pas vu beaucoup de sourires étant petite, et je les dessinais sur les feuilles des arbres et dans les formes des nuages.....)
J'aime me balader aussi, et c'est comme un besoin d'aventure qui enjambe mon caractère posé.
D'ailleurs, j'aime beaucoup la Nature.
J'aime raconter des histoires et autres contes réels ou tout droits sorti de mon imaginaire débordant.
J'adore râler...

Ce qu'il n'aime pas

Je n'aime pas.... Ceux qui m'ont reproché la mort de ma mère. Genre faire porter le fardeau à un nourrisson de trois jours, c'est trop facile.
Je déteste le riz au lait, et en général tout ce qui de près ou de loin ressemble a une pâte grumeleuse ou un genre de flan.
Je n'aime pas la viande. Peut être parce que je n'aimerais pas être chassée pour assouvir la faim d'autrui. Par conséquent, je hais es banquets et diverses autres réceptions mondaines dont le but premier est de vous empiffrer, surtout lorsqu'on vante le magnifique chevreuil rôti trônant au milieu de la table.
Je n'aime pas qu'on me critique. ça m’énerve....
Je n'aime pas qu'on me reproche de râler, ou qu'on s'attarde trop sur mon humour disons.... personnel.
Je n'aime ces multiples embûches qui se dressent sur mon chemin, et provoque effrontément ma maladresse.

Quelques questions ...

• Votre personnage a-t-il fait des études ? Pas vraiment.... J'ai surtout appris toute seule après avoir compris comment manier l'aiguille. Les motifs que je brode sortent de ma création. Cependant, si je devais trouver un Maître j'en serais sans doute meilleure. A part ce détail intuitif de mes mains, je sais écrire et lire. Le calcul mental me pose parfois quelques colles, mais pour ceux qui voudraient me rouler (je dis ça comme ça, alors soyez gentils, ne le prenez pas pour vous) je sais tout a fait estimer la valeur de mon travail.
  
• Aime-t-il se battre ? Si oui, quelles armes utilise-t-il ? OUI. C'est d'un oui tonitruant que je réponds, car même les individus les plus taciturnes peuvent apprécier le rugissement de l'acier. La dague est mon, arme de prédilection, et sachez messieurs, qu'une aiguille d'humble couturière habilement dissimulée au détour d'une manche est une botte secrète redoutable que j'apprécie grandement.
  
• S'il était un animal, lequel serait-il ? Un caractère loyal et sensible dissimulé par une carrure sauvage et carnassière, sans hésiter, je serais un loup.
  
• S'il était un sentiment, lequel serait-il ? La fidélité.
  

Personnage © PSEUDO, tout reproduction est strictement interdite.

- Moi -

# Comment avez-vous découvert le forum ? Petite fouineuse que je suis, j'ai farfouillé parmi les bonnes adresses
# Qu'en pensez-vous ? Le concept me plait beaucoup, et j'ai hâte de voir ce que ça donne à plus long terme. Et j'avais envie de refaire un personnage humain.
# Avez-vous lu le règlement ? Nan, mais t'inquiète, j'improvise x)
# Preuves :

Spoiler: